Avec la zumba, à moi les fesses de brésilienne !

Hier, une des filles (salut, les filles !) m’a traînée avec elle à son cours de zumba, prétextant que c’était pas le tout de prendre de bonnes résolutions, encore fallait-il les mettre en application. Quand elle m’en a parlé, je l’ai regardé avec de grands yeux, néophyte que je suis, l’interrogeant sur cette discipline au nom plus évocateur d’un bonbon acidulé que d’un sport qui fait brûler des calories. Après un vague « tu verras, c’est génial », je me suis retrouvée embarquée vers l’Aquaboulevard, sorte de mix entre centre commercial (avec son Décathlon et ses restaurants) et centre sportif où la piscine olympique serait remplacée par des toboggans aquatiques. Bref, je découvrais un nouvel univers, loin du duo canapé-télé initialement prévu.

Mais revenons au principal sujet de ce billet : la zumba. Alors que j’y allais un peu à reculons (avouons-le : la perspective de sortir par ce temps ne m’enchantait guère), j’ai passé une heure gé-ni-a-le ! La zumba, donc, c’est un mélange de danses latines sur de la musique qui bouge. Au programme : on s’éclate et on passe un super moment avec, bonus compris dans le package, une dépense calorique qui doit pouvoir faire passer le tiramisu du déjeuner (attendez, je vous entends d’ici : j’ai dit que j’allais faire attention, pas tirer un trait sur tous les desserts !). Résultat : qu’il vente ou qu’il neige, je me suis engagée à y retourner la semaine prochaine !