S’offrir une panne d’ascenseur

Mercredi, je vous parlais du petit plaisir qui consiste à s’offrir un joli bento qu’on pourra ensuite remplir avec gourmandise (mais raisonnablement). Aujourd’hui, forte de mes expériences pour trouver comment faire du sport sans se retrouver systématiquement à souffrir bêtement sur un tapis de course, je prends l’option « je m’offre une panne d’ascenseur » !

Ah, la panne d’ascenseur… longtemps que je n’y avais pas eu droit… La dernière fois, c’était juste avant un voyage. Je m’imaginais déjà devoir descendre la valise par les escaliers puis… la remonter au retour (et oui : il s’agissait d’un long weekend option shopping, imaginez le poids en rentrant). Mais la chance fut de mon côté (je remercie au passage toutes les personnes âgées qui habitent mon immeuble et sans qui cela n’aurait certainement pas été possible) et le jour du départ tout était réparé. Ouf !

Mais voilà qu’hier soir, en rentrant d’un apéro qui a joué les prolongations, je me suis retrouvée à 1h du matin face à un ascenseur qui restait bloqué au 6^ème étage. Aïe ! Et devant moi se profilait la vision atroce de ces huit étages à grimper avant de retrouver mon lit. Et bien je peux vous dire que ces huit étages m’ont presque fait regretter d’avoir séché le sport au profit d’une soirée entre filles. L’ascension fut rude, mais quelles courbatures aujourd’hui ! En restant positive, je dirais donc que j’ai été récompensée pour mes efforts…