C’est la fin des viaducs de mai
Après deux années bien pourries niveau pont (les samedis, puis dimanches 1er et 8 mai 2010 et 2011), voilà que 2012 nous a offert de véritables viaducs : deux mardis d’affilée, puis un jeudi. Bingo, la valse des jours fériés nous a offerts trois semaines de trois jours. C’est ça, le « vrai travail », comme dirait l’autre.
Non, parce que bon, qui dit semaine de trois jours ne dit pas forcément moins de travail. Bien au contraire. Tenez, moi, par exemple, j’en ai fait autant, juste je me suis débrouillée pour tout caler en deux jours de moins histoire de m’évader de la capitale et de goûter aux joies de (dans l’ordre) : la campagne sous la pluie, la campagne sous un pseudo soleil et… la côte d’Azur sous le soleil (fallait bien rattraper le coup).
Mais voilà : toutes ces joyeuseries terminées, il va bien falloir reprendre le rythme et réapprendre à se lever cinq jours sur sept en se cassant la tête tous les matins pour savoir 1. Comment on va s’habiller alors que le soleil n’a pas encore décidé s’il allait ou non sortir de derrière les nuages ; 2. Ce qu’on va manger au déj et s’il faut prévoir ou pas un petit bento au cas où il pleuvrait et où on ne voudrait pas mettre le nez dehors à la pause déj ; 3. Si on va sortir ce soir étant donné que demain il va falloir (encore !) se lever. Pfff. Et dire que le 14 juillet tombe un samedi cette année…