J’aime compter les points en moins

Le poinçonneur des lilas comptaient des p’tits trous, des p’tits trous, encore des p’tits trous… Moi, je compte des grammes en moins, des grammes en moins et des points pareils. Oui, parce que mes points, plus ça va, plus ma réserve se gonfle (ou plutôt moins elle descend). J’ai des points à ne plus savoir qu’en faire et j’irais même presque jusqu’à dire que c’est une véritable incitation à l’orgie de glace à la sortie du bureau, ça.

La beauté du concept, c’est que l’accumulation de points est inversement proportionnelle au stockage de gras. Les points reste, le gras s’envole. C’est beau comme de la poésie !

Reste que tous ces petits exercices de comptabilité mènent à une seule et même conclusion : je suis sur la bonne pente, la pente descendante (pour une fois que c’est la bonne !), et je compte bien la dévaler jusqu’au maillot !