Le Pilates, je croyais connaître, mais…

Le Pilates, ça commence à faire un petit bout de temps que je le pratique. Etirements, respiration haute, abdos et dorsaux qui travaillent dur… Séances de renforcement musculaire à fort pouvoir redresseur (oui, ça tonifie un peu toute cette chaîne musculaire qui nous fait tenir droit), pas de quoi fouetter un chat, voire même parfois je ne faisais pas trop la différence avec un cours d’abdos-fessiers pour débutants (souvenez-vous que le cours d’abdos-fessiers normal est une torture de chaque instant).

Bref… C’est ce que je pensais savoir du Pilates…

… Jusqu’à ce qu’une nouvelle prof fasse son apparition. Aha… Une nouvelle prof… Peut-être de nouveaux mouvements ? Des postures plus marrantes ? Un truc plus doux que ce qu’on faisait jusqu’alors..?

Tu parles, Charles ! Plus difficile, oui ! Des postures et mouvements certes plus simples et moins dans la force, mais tellement soutenus que les muscles tremblent, tétanisent et menacent de ne plus faire leur job, de nous lâcher en plein exercice. Ça paraît simple, pourtant, quand on la regarde sur son estrade. Et bien non ! Ce n’est pas facile. Du tout ! Et ça l’est encore moins le lendemain au moment de monter les escaliers du métro…